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A vos plumes !
Regardez ce groupe d’écrivains traînant dans les rues, godasses usées. Loin d’être belliqueux, nomades plutôt. Ils errent, vers Nevers, se dirigent vers la mairie. Mais les portes sont closes. Retour à la gare. Ici, au moins, il fait chaud. C’est dur. « Asseyez-vous », leur dit une belle femme rousse au sourire angélique. Ils s’installent et débattent de leur révolte. Héros ou fous ? Ils semblent un peu perdus, mastiquent des boules de gomme toute la nuit dans cet endroit clos. Dès l’aube, ils se lèvent. Chacun retourne chez lui, s’isole. A peine rentrés, ils avalent un café pur arabica. Musique douce, plume à la main, ils se remémorent leurs années d’école, étudiant sans répit du matin au soir. Ils écrivent, font des rimes de tout, c’est beau. De l’air du temps, de la vie. Les mots passent en boucle dans leur tête. Ça gamberge… ça résonne comme un tambourin… beauté en vers, beauté en prose… ils sont tout émus, c’est la vie de poète.
18 20 22 écrivains sont cachés dans ce texte. Les voyez-vous ?
Martine, tout bon !
Bravo Fabrice, tu les as tous et tu en as même 2 qui n'étaient pas prévus (Poe et de Stael). Dumas est compté 2 fois grâce aux trouvailles de Martine qui a aussi "déniché" Allais là où tu as vu Stael)
Ce qui nous amène à un total de 22 écrivains !! ;-)
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Commentaires
oui Martine, tu y es ! le thème est bien dans le texte ;-)
et les 4 que tu as aperçus sont bien là ! plus que 14 !
bonne nuit !
bon comme souvent j"ai du mal pour le dernier..
heu Dumas .. tu le places à "perdus" ou à "du matin" .. ou tu as mis le père et le fils ???
ah joli, Dumas père et fils donc même si ce n'était pas prévu ;-)
je l'avais placé à "perdus" mais je n'avais rien prévu pour "du matin"
ce qui fait 19 au lieu de 18 !
alors c'est parti !!
Regardez ce groupe d’écrivains traînant dans les r[ues, go] (Hugo)dasses usées.
Loin d’être belli[queux, no] (Queneau)mades plutôt.
Ils errent, [vers Ne] (Verne)vers, se dirigent vers la [mairie. Mais] (Mérimée) les portes sont closes. Retour à la [gare. I] (Gary)ci, au moins, il fait chaud.
C’est [dur. « Ass] (Duras) eyez-vous », leur dit une belle femme [rousse au] (Rousseau) sourire angélique.
Ils s’inst[allent et] ( Allais) débattent de leur ré[volte. Hér] (Voltaire)os ou fous ?
Ils semblent un peu per[dus, ma] (Dumas) stiquent des boules de gomme toute la nuit dans cet endroit [clos. Dès l’] (Claudel )aube, ils se lèvent.
Chacun retourne chez soi, s’isole.
A peine entrés, ils avalent un café pur arabi[ca. Mu ) (Camus)sique douce, plume à la main, ils se remémorent leurs années d’é[cole, ét] (Colette)udiant sans répit [du ma] (Dumas)tin au soir.
Ils écrivent, font des rimes de tout, c’est [beau. De l’air] (Baudelaire) du temps, de la vie.
Les [mots passent en] (Maupassant) boucle dans leur tête. [Ça gam] (Sagan)berge… ça résonne comme un tambou[rin… beau] (Rimbaud)té en vers, beauté en prose… ils sont tout é[mus, c’est] (Musset ) la vie de poète.hop
Chacun retourne chez soi, s’i[sole. A] (Zola)peine entrés,
là c'est sûrement ça !!
youpi !!
bises et merci pour le jeu
Whaou ! C'est costaud... J'ai relu plusieurs fois...
Je crois qu'il y a Voltaire ("...révolte. Héros..."), Dumas ("...perdus, mastiquent..."), Hugo (?) ("...rues, godasses..."), Queneau ("...belliqueux, nomades..."), Gary ("...gare. Ici..."), Rousseau ("...femme rousse au sourire angélique..."), (Paul) Claudel ("...endroit clos. Dès l'aube..."), Zola ("...s'isole. A peine rentrés..."), Camus ("...arabica. Musique douce..."), Colette ("...leurs années d'école, étudiant..."), Baudelaire ("...c'est beau. De l'air du temps..."), Maupassant ("...Les mots passent en boucle..."), Sagan ("...ça gamberge..."), Rimbaud ("...comme un tambourin... beauté en vers..."), Musset ("...tout émus, c'est la vie..."), Verne ("...vers Nevers..."), Mérimée ("...vers la mairie. Mais..."), Duras ("...c'est dur. "Asseyez-vous..."), Madame de Stael ("...ils s'installent...")
Euh... Si j'ai bien compté, ça ne fait que 19, j'ai du mal à trouver le/la 20ème...
FP
Bravo à vous 2 !
La solution avec vos trouvailles en plus :Regardez ce groupe d’écrivains traînant dans les rHU.GOdasses usées. Loin d’être belli QUE,NEAUmades plutôt. Ils errent, VER NEvers, se dirigent vers la MERI.MEE les portes sont closes. Retour à la GAR.Yci, au moins, il fait chaud. C’est DUR.ASseyez-vous », leur dit une belle femme ROUSSE AU sourire angélique. Ils s’inSTAEL / ALLAIS débattent de leur ré VOLT. AIRE os ou fous ? Ils semblent un peu per DUS, MAStiquent des boules de gomme toute la nuit dans cet endroit CLAU. DEL’aube, ils se lèvent. Chacun retourne chez lui, s’i ZOLA peine rentrés, ils avalent un café pur arabi CA.MUSsique douce, plume à la main, ils se remémorent leurs années d’é COL,ETTEudiant sans répit DUMAStin au soir. Ils écrivent, font des rimes de tout, c’est BEAU. DELAIRE du temps, de la vie. Les MAUPASSANT boucle dans leur tête. SAGANberge… ça résonne comme un tambouRIM. BAUD té en vers, beauté en prose… ils sont tout é MUSSET la vie de POEète.
merci et bonne journée
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Coucou Sandra
mince ce n'est pas modéré ... je change mon commentaire .. à demain pour une recherche sérieuse ..
et merci pour le jeu !!
bises et bonne nuit